Kawatori

C'est seulement que je n'ai rien à faire. Et rien de particulier à faire.
J'ai commencé mon album, il n'y a pas assez de page, je vais devoir en racheter un.
Demain peut être.
Demain peut être j'aurai le courage de faire un peu de tirage argentique.
Demain peut être j'arrêterai de me dire que je ne fais rien de ma vie
et je trouverai quelque chose à faire...

Mon frère qui a toujours eu tout un tas de projet, ne les à jamais tenus.
Moi j'en ai tenue certain, et lorsque j'écris ces mots je sais que c'est grâce à Guillaume,
c'est lui qui ma toujours entrainé dans son sillage.
Je lui en serrai éternellement reconnaissant.
Mais maintenant il ne m'entraine plus...
Mon frère donc, part sur un coup de tête, il fait quelque chose, LUI.
Il a pris un billet d'avion pour la Réunion, 3 semaines là bas, à partir de fin aout.
Il va voir une fille d'une amie de la famille, une de celle qui a participer a tant de souvenir de jeunesse, les trois familles de 5.
Il la revue au mariage de ma sœur, il ne l'avais surement pas vue depuis plusieurs années, et sans jamais être proche d'elle, voilà qui s'envole pour aller la voir et explorer l'ile.
Je l'admire, je dois bien le dire. Moi qui n'arrive pas à aller plus loin que Paris ou Chartres cet été.
Moi qui est tant besoin de quelqu'un pour me faire avancer convenablement...

On pourrai croire que mon BTS en poche tout s'arrangerait.
Car oui je l'ai eu ce diplôme ridicule.
Contrairement à Mathilde,
Contrairement à Antoine,
Contrairement a tant de gens...
Et pourtant je suis toujours au même moi, je n'arrive plus a rire en me relisant, j'ai juste envie de pleurer.
Le temps s'écoule et rien ne change, rien ne nait, aucune envie,
aucun courage.
Nous sommes le 17 juillet, le mariage est passé, les résultats sont passées, le week end de fête est passé, et rien ne change, rien ne bouge sauf le temps.
J'erre entre mes lieux de vie d'antan et ceux des autres mais rien ne viens sauf les questions inlassables des gens.
" Et après tu fais quoi ?"
" Tu vas chercher du travail ?"
" Tu fais quoi actuellement ?"
" Et maintenant ?"
Et maintenant ? que leurs répondre, à ma famille, a mes amis, et tout ceux qui s'inquiète pour moi, comment serai-je quoi leur dire alors que je ne sais pas quoi me dire à moi même.
Alors je répond "vacances" "on verra" " je vais surement prendre un année sabbatique" "travailler en interim en septembre il n'y aura plus d'etudiant"...
Et je me prepare a quitter mon appartement ivryien...Les coups de fil de l'agence s'enchaine, et moi j'y retourne et je suis saisi d'une nostalgie maladive, en quittant mon appart je regresse encore...
J'ai envie d'avancer bordel, mais rien ne me tire vers l'avant...

Il y a de ca quelques jours j'étais dans ta baignoire, dans le noir, je réfléchissais encore et encore...
A nous.
Ce nous qui ne devais pas naitre, ce nous qui n'étais qu'une rigolade, une idée un peu bête lancé en texto...
Ce nous qui ne devais pas durer...
Oui, non, il ne pouvais pas durer, regarde nous, on a rien en commun, rien.
Toi tu aimes vagabonder, tu as un sens du respect des lois à l'opposer de moi, tu aimes la compagnie d'inconnu, je déteste ça.
J'aime ne rien faire en compagnie de mon homme. Tu t'en lasse tellement vite...
Tu n'aimes pas les animaux, les enfants, un futur familiale bref des choses que j'apprécie et auquel j'aspirai un jour...
Bref la liste serai trop longue, car tout, tout simplement tout nous sépare.
Et pourtant on est ensemble, encore, depuis plusieurs mois déjà et le pire si on peux dire...
C'est qu'on aime ça.
Tout les gens étaient étonné de notre relation et qu'elle dure les surprend encore plus, mais en réalité nous sommes les premiers surpris.
Ou non peut être pas toi, toi tu espérai qu'on ne serai pas juste "une aventure", toi tu penses qu'on peut encore rester longtemps ensemble...
Je suis affolée par tant de certitude, et pourtant cela ce confirme.
Moi je panique, parce que, tu le sais, je n'avais pas penser et prévu de rester tant avec toi. Tu le savais que c'était juste comme ça pour se divertir tu étais d'accord, et encore aujourd'hui je te répète qu'on n'est pas fait pour être ensemble, que tu pourrai trouver quelqu'un qui te correspond mieux, et je ne mentirai pas, je pense aussi pouvoir trouver quelqu'un me correspondant plus...
Je parle toujours de cette rupture qui me parrai obligatoirement proche et croyant que rien ne changera dans ma vie si elle n'a pas lieu, et pourtant rien n'y fais...
je reste avec toi, et pourquoi ?
Pour la meilleur raison du monde je pense, parce que je suis bien avec toi, je suis heureuse avec toi, malgré toute ces differences, malgré les dires des autres et de moi, je suis bien, et non je n'ai pas envie de te quitter...

Je rigole, pour ne pas déprimer...

Je viens de relire l'article que j'avais écrit le 13 février dernier. Soit il y a tout juste un peu plus de 4 mois.
J'ai fait mon budget voyage pour l'année prochaine. 7300€ il me fallait.
Maintenant je rigole.
Reprenons cette charmante liste :

~ Nikon D700 et un 50mm pour commencer : 2500€, oui cela serai bien, mais je n'ai pas les moyens, et puis a quoi bon avoir un boitier si on ne part plus en voyage...

~ Canada... Projet abandonné, je n'ai pas de nouvelles de la personne qui pouvait m'héberger, du faite que j'en ai pas donné également, certaines personnes le voyait d'un mauvais œil. Ne citons pas de nom. sourions juste !

~ Finlande. La personne chez qui j'étais sensé être hébergée ni y va même pas, aucune raison d'y aller de ce faite.

~ Australie, alors là c'est la plus grosse blague. Celle-ci c'était ensuite transformé en Road Trip, en Europe-Asie, puis en Europe seulement, car je voulais par dessus tout la compagnie de Mathilde. Et puis finalement plusieurs fois, elle a sous entendu que non, vraiment non, elle ne quitterai pas son mec pour partir. " Alors m'attendra-t-il ? Comment je vais faire sinon ? Je me vois pas vivre sans lui..."
Ok, ok... oublions oublions, douce deception... même plus que cela...

FELICITATION

" VOUS N'AVEZ PLUS AUCUN PROJETS !"

Et oui, voilà je n'ai plus de projet, je suis là, a errer dans mon jardin, dans ma maison, dans ma piscine, a attendre le peu d'élément qui font encore ma vie...
Le mariage de ma soeur, samedi prochain...
Les resultats du BTS, le 9 juillet...
Et après...?
Après rien, a part un bref week end organisé, juste rien, le néant, le vide...
C'est effrayant d'y penser, pas de projet, pas d'envie, personne avec qui en faire.
J'ai plus envie d'en faire avec personne.
J'ai envie de me laissé vivre, sans vivre réellement, juste laissé passé le temps, comme si, forcement, un projet aller naitre, quelque chose qui me pousse en avant, comme il en a toujours été...

Mais si c'etait pas le cas, si rien venais me bouger, me donner envie...

Sony Alpha 100 ; Lac Majeur, Italie, été 2009

J'ai envie de repartir...

J'ai l'impression d'avoir écrit cette phrase des milliers de fois. Je devrai réviser, et si ce n'est l'écrire au moins la penser.
Ce qui est fou c'est que il n'y a aucun changement de ce côté là. Je suis incapable d'apprendre de certaines choses.
Je pense que cela est particulièrement lier au faite que j'ai toujours eu tout ce que je voulais.
Toujours.
Ou je ne m'en rappelle plus, et alors dans ce cas là, c'est que la déception n'était pas réelle.
J'ai déjà écrit cette article, ici ou ailleurs je ne sais pas.
Mais au final toujours avoir ce que l'on veux n'aide pas.
Je me rappelle avoir écrit que pour éviter les déceptions, et pour garder cette facilité, je ne me mettais pas la barre trop haut, comme on dit.
Je doute que cela soit une bonne chose au final, mais c'est glorifiant de réussir le peu de chose qu'on entreprend.
J'ai écris cette article à propos du bac, et de l'école, je me souviens de mieux en mieux. Dire que j'ai eu mon bac alors que je n'étais pas censé. Avec moins de 8 de moyenne en terminale, des résultats plus que merdique en maths et en physique, comment aurai-je pu avoir mon bac S avec mention assez bien.
Et pourtant je l'ai eu.
J'ai ensuite demander une unique école, a part m'assurer vaguement en m'inscrivant à la fac, j'étais persuader de l'avoir.
Vu l'école je comprend bien ceci dit.
La reussite etraordinaire au bac me fait penser que soit j'ai vraiment tout ce que je veux en faisant pratiquement rien, soit que le bac est vraiment donné.
Ce qui n'est surement pas faux.
Ceci dit je pense vraiment avoir tout ce que je veux.
Donc comme je disais je devrai me rejouir de cette possibilité.
Sauf quand je ne sais pas ce que je veux...

vielle photographie oubliée ; Sony Alfa 100, 18mm, f/5.6
 

Pense bête :
1. La beauté est-elle une influence de la société/culture/blabla ?
2. La lecture et le soi.
3. Pourquoi écrire.

Je suis obligée de me faire des penses-bêtes avec ma mémoire de poisson rouge dans un bocal circulaire. Pas que ce soit des idées compliquées, non vraiment pas, seulement j'y pense et puis j'oublie, comme trop souvent, et ça vire à la frustration.

1. Je me disais donc ce matin dans le métro, entouré d'un tas de personne, qui a mes yeux sont particulièrement laid, si mes yeux étaient influencé par la société de consommation.
Évidemment me direz vous.
Oui je le pense aussi, car mes critères de beauté répondent relativement à la tendance toute en finesse et bronzé des dites jolies filles.
Et c'est fou comme les personnes belles sont rares, cela me déprime.
Je ne sais pas si c'est mon coté photographe qui me fait tant me rendre compte de la laideur des gens.
Rien est harmonieux dans leurs visage, leurs expressions sont tordus, leurs corps mal proportionnés.
Et je cesse de me dire que les personnes moches, poussez par l'instinct et la société, s'assemblent, forme un couple, et copule jusqu'à fécondation et émergence d'un mélange de deux êtres moches.
Pas étonnant que les gens beaux soit en voie de disparition.

2. Ensuite ce soir, descendant la rue du faubourg du Temple.

Cette même rue apparaissant dans mon livre actuel. J'adore ce genre de chose, voir et être dans le lieu d'une action fictive d'un livre, où comment plongé plus profondément dans l'action.

Je me demandai pourquoi j'aimais tant lire, et surtout cette effet d'être totalement coupé de toute intervention ou monde exterieur. Lorsque je lis, il faut m'appelai trois fois avant même que j'entends et quatre pour que je relève la tête.
Enfin tout ça me faisait me rendre compte que si je lis tant c'est que j'ai besoin d'échapper à ma vie "monotone". D'un coté les livres me fait me rendre compte à quelle point la vie pourrai offrir d'autres possibilités, et même si je m'applique à essayer de changer progressivement ma vie, elle reste, disons le, chiante dans les peripeties.
Bref je me suis demandée ensuite si les gens qui ne lisait pas, c'est qu'ils ont tout ce qu'ils les satisfait dans la vie, et qu'ils considèrent que leur vie leurs convient ou est-ce qu'ils ne se rendent pas compte des possibilités qu'offre l'unique vie que nous avons. Et qu'ils passent jour après jour sans se dire

" mais au faite que fais-je ici?"
"mais au faite que vais-je faire?"
"mais au faite que vais-je laissé?"

3. Il y a peu, on m'a demandé pourquoi j'écrivais tout ça. Oui au fond qui en a quelque chose a foutre, personne me direz vous. Et je serai plutôt d'accord, excepter peut être une unique personne.
Moi.
Oui cette démarche est purement égoïste. J'ai besoin d'écrire pour me rappeler, pour me relire dans des années et remarqué à quel point j'ai pu être bête parfois, où peut être pas tant que ça parfois, et surtout remarqué à quel point j'avance dans ma vie, et j'évolue, et j'espère toujours dans le bon sens. Me rendre compte en lisant mes écrits de lycéenne, voir collégienne, comme je me torturai pour des choses qui me parais-ce, aujourd'hui, totalement dénuer d'intérêt.
Et bien sur cela pourrai etre deprimant, mais moi cela me reconforte dans ma progression et dans mon évolution.
La sensation de devenir quelqu'un d'autre, d'une manière, quelqu'un d'autre de mieux qui a appris et retiens, grâce a tout ces écris stupides, 
pourquoi elle est devenue celle qu'elle est.
Et pourquoi sur le net plutôt que ailleurs, pour la simplicité, l'esthétique facile et la pérénité de la chose. Il y a peu j'ai encore retrouver un skyblog, dattant du collège toujours existant. C'est a la fois effrayant et facinant de savoir qu'il existe et de revoir tout ça.




[ hors sujet : Je deteste ces filles qui incarne la perfection aux yeux des gens, ou dirai-je de certaine personne.]

JE VEUX le BEURRE

et L'ARGENT du BEURRE.

je suis une salope et je deteste ça

Je m'emmerde.
Je me rend compte que mes week-ends à Orléans sont de plus en plus ennuyant.
Ma vie est à Paris c'est un faite.
Même si je m'ennuie à Paris je me dis que cela ne durera pas, alors que à Orléans...
Et je suis blasée à Orléans. Toujours pour les même choses, ces fausses amitiés,ces soirées à observer des gens sans intérêt et ces histoires récurrentes...
Et ne pas avoir de nouvelles régulière "de Paris" n'aide pas à sortir de cet ennui statique.
Quand je songe que je vais devoir abandonné mon appart', mon chez moi pour revenir ici, ça me désole.
Revivre avec ma mère, cela se sera une grosse épreuve. On se voit deux jours par semaine est déjà on arrive à avoir des tensions, on en avait tout un tas avant, alors après avoir eu deux ans "d'autonomie", ça va être l'enfer.
Je l'ai déjà prévenue, elle a fait ça tête de "tu crois pas que tu exagères" et déjà je vois les engueulades approchées.
Que voulez-vous j'ai eu la chance d'hériter de son sale caractère de chieuse.

Enfin si je reviens c'est pour économiser.
J'ai établis un budget à obtenir pour faire tout ce que j'ai prévu. On peut le présenté sous cette forme :

~ Nikon D700 ou Canon 5D mark II + un ou deux objectifs : 2500€

Ensuite les voyages, si tous se maintiennent on obtient :

~ 1000€ Canada ( billet d'avion aller-retour ). En sachant que un peu d'argent de poche serai top, surtout que j'adorai en profiter pour faire un tour à New York, c'est pas si loin de Quebec. Soyons raisonnable rajoutons 350€.
~ 200€ Finlande ( billet d'avion aller-retour et surement train pour aller jusqu'au trou du cul du monde en laponie où on pourra me loger ). 50€ d'argent de poche.
~ 1200€ Australie ( billet d'avion aller-retour ) plus 2000€ pour commencer a vivre là-bas. Oui si j'y vais, c'est pour un an, faut un peu de marge avant de trouver un boulot. Ceci dit je pourrai peut etre trouver quelqu'un pour nous loger à Melbourne pendant un certain temps, ce qui serai très avantageux. Pas d'auberge ou autre à payé en attendant d'avoir un boulot et donc un appart. ( ou une camionette, tente... dite plus " fixe". )
Et le nous est bien sût Mathilde et Moi.
Donc prenons les chiffres en gras et additonnons avec la merveilleuse calculatrice Windows.
et le juste prix est :

7300€

et merde, j'arrête pas de faire mon budget depuis hier et il ne cesse de grandir. erk. En sachant que je part avec une base actuelle de seulement 1000€. Je suis vraiment dans le caca. Ceci dit, tout ces projets me tiens plus ou moins à coeur.
Il reste plus que je veuille partir une ou deux semaines cet été, et j'ai plus qu'a vendre plusieurs organes.

un rein une partie du foie, vous me conseillez quoi ?

J'ai reçu un avertissement de l'école. Trop d'absence.
Et je peux même pas nié. Pourquoi ? Parce que je préfère faire tellement d'autre chose que d'être assis sur une chaise à m'ennuyer.
Enfin pas d'absence pendant 5 semaines. Lundi commence le stage, qui s'annonce être " dépoussiérage " de fichiers à longueur de journée, plus 40 min de trajet, et 40min encore pour rentrer.
Un fait étrange ces derniers temps, soit je suis blasée soit heureuse. C'est pas si mal quand on y pense.
Mouarf.
Il y a des choses qui rajoute au faite naturel d'être blasé. La niaiserie. Ou plutôt la niaiserie excessive des autres. J'errai sur facebook ( bouffe vie de merde inutile ) et je tombe sur la page d'un sois disant pote. Son statue : Marié à T. et la T en question postant sur son mur T. t'aime fort (L).
Le pire c'est ce (L), qui doit signifier dans un language si lointain msnique un cœur ou des levres rouges, signifiant vaguement un baiser.
C'est Risible.
Ecoeurant.
( oui le e dans le o, je sais, mais je ne sais absolument pas le tapé. )

La dernière fois que j'ai été blasée comme ça, j'ai largué mon mec...

Premier point à souligner, j'ai un stage. Enfin surement. Il m'a dit oui. J'ai réclamé un entretien de force jeudi prochain. C'est la fête.
Second point l'amitié c'est quand même bidon.
Ou plutôt ce que les gens définissent comme de l'amitié.
Juste des personnes qui se fréquentent et disent qu'ils s'apprécient, par principe. Par habitude humaine dirai-je.
Des gens à qui si on s'aventure a leurs confié des choses se précipitent le répété à l'autre, et l'autre à l'autre encore.
Voilà comment un pauvre mec se retrouve cocu avec seulement lui qui l'ignore dans tout ses soit disant potes.
Affligeant.
Attention je ne sous entend pas que l'amitié, la vrai comme on dit, celle où quand on dit quelque chose de personnelle se retrouve pas sur le mur facebook du voisin de machin chose par une force qui vous est totalement inconnue. Merci internet. fermons cette parathèse internet, et revenons au faite que l'amitié putain c'est rare.
Disons que si je compte de façon optimiste, je rentre trois personnes dans cette catégorie.
Et deux etant du sexe opposé, risqué.
bref.
Tout ça pour évoquer tout cette bande de personne autour de laquel je gravite en ne les connaissant absolument pas. Certain je ne sais meme pas ce qu'ils font dans la vie, ni leurs plats preferé et encore moins leur second prénom.
J'ai toujours pensée que connaitre le deuxieme prenom de quelqu'un était top, cherchez pas pourquoi.
Faut que je redemande ceux de Mathilde.
Comment ai-je pu les oublié !
bref tout ces gens qui ne servent que à occuper mes samedis soir.
La semaine dernière encore je me suis mis a les meprisés. Tous rempli d'alcool à s'interroger de qui avec le plus forniqué avec d'autre gens du pretendu groupe. A boire des tequilas paf pour oublier des choses absudes, ou peut etre seulement que je comprend pas. Des gens qui vous apprecit seulement parce que vous semblez pas désagréable, avez une piscine et savez faire les crèpes. J'en suis tellement degouté que j'en viens a dire n'importe quoi.
Au fond je pense qu'ils ont meme pas l'idée de reflechir pourquoi ils m'apprecient ou pas, cela n'a pas d'importance, je fais juste "partie" du groupe.
Puis je les ai ignorés, à quoi bon leur donné tant d'importance.
Puis je suis resorti avec eux, parce que samedi soir j'avais rien de mieux à faire...
Decidement, je suis vraiment une incapable des descisions...
j'ai rarement tant écrit ici.